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Hémodialyse des patients insuffisants rénaux chroniques en phase terminale dans l'unité de réanimation néphrologique de l'hôpital IBN Rochd Casablanca

Abstract

Imane Failal, S. Ezzaki, N. Mtioui, S. El Khayat, M. Zamed, G. Medkouri, M. Benghanem, B. Ramdani

Introduction : L’insuffisance rénale terminale est un problème majeur de santé publique au Maroc. Elle résulte d’une croissance régulière de son incidence et de sa prévalence. Elle a un lourd impact économique et une influence significative sur la qualité de vie des patients.

L'objectif de cette étude était de décrire les aspects démographiques, cliniques, biologiques, thérapeutiques et évolutifs des patients atteints d'insuffisance rénale terminale hémodialysés dans l'unité de réanimation du service de néphrologie du centre hospitalier universitaire Ibn Rochd.

Patients et méthodes : Analyse rétrospective des dossiers de 1061 patients atteints d'insuffisance rénale terminale hémodialysés au service de réanimation du service de néphrologie du centre hospitalier universitaire Ibn Rochd, durant une période de 8 ans, s'étalant du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2015.

Résultats : L’incidence annuelle était de 132 cas/an avec un âge moyen de 49,8 ans, avec une légère prédominance masculine avec un sex ratio de 1,11. Les antécédents médicaux ont été dominés par le diabète (33,18%), et l’hypertension artérielle (32,28%). Les principaux motifs d’admission les plus fréquents ont été l’œdème aigu du poumon (14,5%), suivi des troubles de la conscience (11,78%), puis l’hyperkaliémie (6,31%). L’hyperkaliémie a été notée chez 38,56% des cas, et l’anémie chez 59,5% des cas. Le taux de mortalité était élevé d’environ 18%.

Discussion : Au terme de ce travail, nous espérons réduire cette morbidité et mortalité élevées ; pour cela, nous suggérons :

  • Un meilleur accès aux soins grâce à une meilleure couverture médicale
  • Respect du référentiel en termes d'indications, de modalités de surveillance, de prise en charge et de correction des complications de dialyse,
  • Des soins appropriés dans les centres d'hémodialyse ainsi que la mise en place d'un système de garde pour l'hémodialyse en cas d'urgence,
  • Améliorer le cadre de partenariat public-privé en augmentant le nombre de séances de dialyse à 3 séances par semaine au lieu de 2, d’où les 12 heures par semaine recommandées.

Ce guide est rédigé principalement à l’intention des médecins et des infirmières travaillant dans des unités de dialyse et dans des domaines connexes de la médecine au Royaume-Uni. Il s’agit d’une mise à jour d’une version précédente rédigée en 2009. Il vise à fournir des conseils sur la manière de prendre soin des patients et de gérer les unités de dialyse, et fournit des normes que les unités devraient en général viser à respecter. Nous ne conseillons pas aux patients d’interpréter ce guide comme un manuel, mais peut-être pour répondre à la question : « à quoi ressemble une hémodialyse de bonne qualité ? »

      Le guide est divisé en sections : chacune commence par quelques affirmations classées par ordre de force (1 est une recommandation ferme, 2 est plutôt une suggestion raisonnable) et le type de recherche disponible pour étayer l’affirmation, allant de A (des essais de bonne qualité, nous sommes donc assez sûrs que c’est vrai) à D (plus proche de l’opinion d’experts que d’une certitude). Après les affirmations, il y a un bref résumé expliquant pourquoi nous pensons cela, comprenant souvent une discussion sur certaines des recherches les plus utiles. Il y a ensuite une liste des articles médicaux les plus importants afin que vous puissiez en lire davantage si vous le souhaitez – la plupart de ces articles sont disponibles gratuitement en ligne, au moins sous forme de résumé.

       L'hémodialyse continue de se développer au Royaume-Uni, avec plus de 25 000 patients traités, ce qui représente une augmentation de 10 % depuis la publication de la précédente directive de la Renal Association pour l'hémodialyse. En outre, le groupe de patients continue de se développer : le patient type est aujourd'hui âgé de 67 ans avec une médiane de 3,2 ans d'antécédents de traitement de suppléance rénale. Les auteurs de cette directive visaient principalement à mettre à jour la directive précédente en fonction des dernières recherches et expériences, mais également à élargir le champ d'application à des domaines non couverts auparavant mais pertinents pour la pratique de l'hémodialyse.

     Les lignes directrices ont été rédigées de manière collaborative : les auteurs principaux et les coauteurs de chaque section ont effectué des analyses de la littérature et rédigé les premières ébauches des énoncés et de la justification. Tous les auteurs ont fourni des commentaires et des discussions par le biais d'échanges de courriers électroniques et de réunions, des versions révisées ont été produites avec la contribution éditoriale du président, et celles-ci ont ensuite été approuvées par tous les auteurs. Deux patients hémodialysés actuels ont donné des conseils sur le ton et la lisibilité.

Conclusion : C'est une maladie chronique évolutive, longtemps silencieuse, qui nécessite un traitement lourd avec un impact économique énorme

 

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié

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