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Volume 7, Problème 4 (2023)

Rapport de cas

Ultrasound-guided Clavipectoral plane block is a safe and excellent perioperative analgesic option for a complex patient for clavicle surgery: A case report.

Samaresh Das*, Nilay Chatterjee, Ahmed Tolba and Sumit Bajaj

Clavipectoral fascial plane block (CPB) is an attractive method of providing perioperative analgesia in patients with fractured clavicles. It is safe, easy to perform, and provides satisfactory analgesia with minimum complication risk. This report describes CPB in a 67-year-old woman with multiple comorbidities who underwent successful clavicle fracture fixation either as a stand-alone anaesthetic technique or combined with general anaesthesia. Correctly performed CPB could effectively reduce perioperative analgesic use, particularly in patients unsuitable for commonly used analgesics, while providing adequate analgesia for a prolonged duration.

Série de cas

Polypes juvéniles du rectum et du côlon sigmoïde traités par voie endoscopique : une série de cas observés à l'hôpital St. Francis de Nsambya, en Ouganda

Francis Basimbe*, Ronald Olum, Ignatius Kakande et Hakim Din Iman

Les polypes juvéniles sont des lésions muqueuses bénignes courantes du tractus gastro-intestinal, le côlon étant un site fréquemment affecté. Cette série de cas a examiné trois patients pédiatriques qui ont subi une polypectomie endoscopique pour polypes juvéniles dans un hôpital tertiaire. L'objectif était d'analyser leur présentation, leur prise en charge et leurs résultats. Les patients de cette série ont tous présenté des saignements rectaux, ce qui correspond aux études précédentes soulignant que les saignements rectaux étaient le symptôme le plus courant des polypes juvéniles. Il est intéressant de noter qu'aucun des patients n'a ressenti de douleur abdominale associée, ce qui est cohérent avec les résultats d'études menées en Asie. Il convient de noter que tous les enfants de cette série se sont présentés plus d'un an après le début des saignements rectaux, ce qui indique une durée plus longue par rapport aux études menées en Asie, où la moyenne était de 7,6 mois. La polypectomie endoscopique, utilisant explicitement la technique de l'anse froide, a été réalisée avec succès dans tous les cas sans aucune complication signalée. Cette procédure implique l'ablation des polypes lors d'un examen endoscopique, suivi d'un examen histopathologique pour évaluer le risque de malignité. Les résultats de cet examen guident une surveillance ou un traitement ultérieur. Dans cette série de cas, tous les polypes juvéniles présentaient un saignement rectal sans douleur abdominale associée et tous étaient du côté gauche et se présentaient après plus d'un an de saignement rectal et de piège froid. La polypectomie endoscopique a été utilisée en toute sécurité dans leur prise en charge et aucune complication n'a été signalée dans notre contexte.

Rapport de cas

Syndrome de Marfan néonatal avec nouvelle mutation du gène de la fibrilline-1 : rapport de cas

Evdoxia Sapountzi*, Alexandra Staberna, Styliani Fidani, Anastasia Keivanidou, Andreas Giannopoulos et Assimina Galli-Tsinopoulou

Le syndrome de Marfan est une maladie génétique multisystémique rare qui touche principalement le tissu conjonctif. Elle se manifeste principalement dans les systèmes musculo-squelettique, orbitaire et cardiovasculaire. Le syndrome de Marfan néonatal (SMN) se distingue par la survenue d'un décès prématuré résultant d'une insuffisance cardiaque congestive à progression rapide. Ce rapport de cas présente la présentation clinique d'une fille nouveau-née présentant des caractéristiques dysmorphiques, une myopie bilatérale et une atteinte cardiaque sévère. L'analyse génétique a révélé une mutation non identifiée auparavant au nucléotide 3964 (c.3346G > A) dans l'intron 26 du gène de la fibrilline-1. Cette mutation est située dans la région néonatale englobant les exons 24 à 32 de la fibrilline-1. La patiente a été initialement traitée par aténolol, suivi d'une combinaison d'aténolol et d'irbésartan, ce qui a potentiellement contribué à une réduction du taux de dilatation de la racine aortique. Bien que la prise en charge médicale puisse retarder la progression du dysfonctionnement cardiaque, l'intervention chirurgicale doit être réservée en dernier recours.

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