Les hotspots de biodiversité sont des zones géographiques qui contiennent des niveaux élevés d’espèces diversifiées, mais qui sont menacées d’extinction. Il existe actuellement 34 points chauds de biodiversité dans le monde. Les points chauds de la biodiversité sont dus à un mauvais entretien et à une mauvaise conservation, à une mauvaise préservation, à une alimentation, à des ressources et à un entretien mutuel soutenu. Pour être considérée comme un hotspot de biodiversité, une région doit répondre à deux critères stricts : elle doit compter au moins 1 500 plantes vasculaires endémiques, c’est-à-dire qu’elle doit avoir un pourcentage élevé de plantes que l’on ne trouve nulle part ailleurs sur la planète. En d’autres termes, un hotspot est irremplaçable. Il doit contenir 30 % ou moins de sa végétation naturelle d'origine. En d’autres termes, il faut le menacer. Dans le monde, 35 zones sont considérées comme des hotspots. Ils ne représentent que 2,3 % de la surface terrestre de la Terre, mais ils abritent plus de la moitié des espèces végétales mondiales endémiques, c'est-à-dire des espèces qu'on ne trouve nulle part ailleurs, et près de 43 % des espèces d'oiseaux, de mammifères, de reptiles et d'amphibiens sont endémiques.
Revues liées Biodiversity Hotspots
International Journal of Biodiversity Science, Ecosystems Services & Management, Biodiversitas, Biodiversity : Research and Conservation, Biodiversity Journal, Bulletin de l'Institut Scientifique : Section Sciences de la Vie, Animal Biodiversity and Conservation,Annali di Botanica, American Naturalist , Biologie de la conservation, Biologie du changement global, Journal de la biodiversité et des sciences écologiques, Sciences marines méditerranéennes, Actes de l'Académie nationale des sciences.