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Prévalence et corrélations de l'utilisation du conseil et du dépistage volontaires chez les jeunes parmi les étudiants des établissements d'enseignement supérieur à Addis-Abeba, en Éthiopie

Abstract

Chalachew Getahun Desta

Contexte : Le VIH/SIDA demeure un problème majeur de santé publique dans le monde entier et les jeunes font partie des groupes les plus vulnérables. Comparés aux adultes, les jeunes sont caractérisés par des changements physiologiques, psychologiques et sociaux importants et des aspirations qui placent leur vie dans une situation de risque sexuel et reproductif. Étant donné la nature sensible du sexe et de la sexualité des adolescents, les étudiants des pays en développement sont moins informés, moins expérimentés et moins à l'aise pour accéder aux services de conseil et de dépistage volontaires que les adultes. En l'absence de services de conseil et de dépistage volontaires conçus pour répondre aux besoins particuliers des jeunes étudiants, il est raisonnable de s'attendre à des problèmes importants d'adoption du conseil et du dépistage volontaires pour les jeunes dans les établissements d'enseignement supérieur. Méthodes : À l'aide de données collectées au moyen d'un questionnaire d'enquête transversale et en adoptant un modèle de régression logistique binaire, cet article a analysé la prévalence et les facteurs associés à l'adoption du conseil et du dépistage volontaires (ci-après CDV) parmi 354 jeunes étudiants sélectionnés au hasard dans deux établissements d'enseignement supérieur d'Addis-Abeba. Résultats : Près des trois quarts des répondants ont recours au service de conseil et de dépistage volontaires au moins une fois dans leur vie. Français Ne pas avoir de connaissances en matière de conseil et de dépistage volontaires (AOR : 6,34 ; IC : 2,67, 15,10 ; avoir un père ayant fait des études secondaires et/ou préparatoires (AOR : 5,90 ; IC : 1,44, 24,39 et/ou AOR : 4,02 ; IC : 1,12, 16,64 ; ne pas avoir d'expérience antérieure d'utilisation de contraceptifs (AOR : 20,1 ; IC : 3,35, 120,3) ; et être neutre quant à savoir si le recours au conseil et au dépistage volontaires est peu probable lorsque le temps d'attente est trop long (AOR : 1,73 ; IC : 0,92, 3,29). Alors qu'avoir plus de 18 ans (AOR : 0,77 ; IC : 0,62, 0,97 ; être étudiant en deuxième année (AOR : 0,54 ; IC : 0,25, 1,14 ; être issu d'un ménage dirigé par une femme (AOR : Français : 0,33 ; IC : 0,09, 1,04 ; et décider conjointement des contraceptifs (AOR : 0,36 ; IC : 0,14, 0,90) étaient moins susceptibles de recourir aux services de conseil et de test volontaires. Conclusion : Bien que le recours aux services de conseil et de test volontaires par la plus grande proportion d'étudiants soit encouragé et que sa relation avec la plupart des prédicteurs soit claire, le sens de l'association entre le recours au conseil et les connaissances en matière de conseil et de test volontaires et le temps d'attente n'est pas clair. Les recherches futures devront peut-être examiner ces variables plus en détail. Mots-clés : Conseil et dépistage volontaires infections sexuellement transmissibles, santé reproductive, planification familiale, établissements d'enseignement supérieur et conseil et test volontaires.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié

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