Aliyu Danjuma, Adeleke Ibrahim Taiwo, Sunday Oluwafemi Omoniyi, Samaila Ayuba Balarabe, Silas Kolo, Solomon Lami Sarah, Yashi Garda Nassa
Introduction : L'utilisation de substances telles que les excréments blanchâtres de lézard, le gaz de sulfure d'hydrogène (gaz d'égout), les graines de Zakami, le Premium Motor Spirit (PMS), les solutions de caoutchouc, les nettoyants pour vernis à ongles, les feuilles et graines de papaye, les feuilles de Moringa (Zogale), les gaz lacrymogènes, la poudre à canon, le Mandara (Kafra) et les gouttières des toilettes à des fins non conventionnelles chez les jeunes Nigérians est devenue une source de préoccupation à divers niveaux de la société.
Méthodes : Un questionnaire semi-structuré a été administré à 220 participants recrutés lors de deux séances de cours à l’école.
Résultats : Plus de la moitié (117, 58,2 %) des participants étaient des hommes et plus de deux cinquièmes (87, 43,5 %) étaient âgés de 21 à 25 ans. Une plus grande partie (174, 87 %) des participants avaient entendu parler de l'utilisation non conventionnelle de ces substances ; extrémité blanchâtre de crottes de lézard, gaz de sulfure d'hydrogène (gaz d'égout), Premium Motor Spirit (PMS), solutions de caoutchouc, vernis à ongles, feuille de papaye, graine de papaye, feuille de Moringa (Zogale), graine de Zakami, gaz lacrymogène, poudre à canon, Mandara (Kafra) et gouttière des toilettes. L'éducation des participants, le groupe d'âge et les zones géopolitiques étaient associés au niveau de sensibilisation, aux facteurs d'influence et aux complications résultant de l'utilisation de substances non conventionnelles.
Conclusion : La plupart des participants à cette étude ont affirmé que la consommation de substances non conventionnelles chez les jeunes au Nigéria est en plein essor, en particulier dans la région du nord.
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