..
Soumettre le manuscrit arrow_forward arrow_forward ..

Gestion des lamproies marines invasives avec des piscicides TFM et Niclosamide : perspectives toxicologiques, réalisations et orientations futures

Abstract

Michael P. Madan

L’incursion de lamproies marines ( Petromyzon marinus ) dans les Grands Lacs laurentiens d’Amérique du Nord au début du XXe siècle a entraîné l’épuisement de populations de poissons essentielles à la vie commerciale, récréative et culturelle. Cette dévastation a eu de graves répercussions sur l’économie des communautés dépendantes de la pêche. En réponse, une stratégie robuste de lutte intégrée contre les ravageurs a été mise en œuvre pour réduire les populations de lamproies marines. Cette approche comprenait l’installation de barrières et de pièges pour empêcher leur migration vers les frayères, ainsi que l’utilisation de piscicides (connus sous le nom de lampricides), notamment le 3-trifluorométhyl-4-nitrophénol (TFM) et le niclosamide, pour éliminer les larves de lamproies marines de leurs cours d’eau d’alevinage. Bien que les Grands Lacs abritent encore des populations résiduelles de lamproies marines, leur nombre a été réduit à moins de 10 % des niveaux de pointe observés au milieu des années 1900, principalement grâce à l’application soutenue de lampricides. Cette initiative a été à l’origine de l’un des programmes de gestion des espèces envahissantes les plus réussis au monde. Cependant, il existe d’importantes lacunes dans les connaissances concernant l’absorption, la transformation et les mécanismes toxicologiques du TFM et du niclosamide chez les lamproies et les espèces non ciblées. Au cours de la dernière décennie, des progrès substantiels ont été réalisés pour élucider ces aspects.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié

Partagez cet article

arrow_upward arrow_upward